– ACHATS MARS 2024 –

 Victoria HISLOP
        La statuette

Quand Helena hérite de l’appartement de ses grands-parents à Athènes, elle est submergée par ses souvenirs d’enfance. Chaque été, alors que la Grèce subissait la dictature des colonels, elle séjournait auprès de sa giagia adorée et de son tyrannique pappou qu’elle craignait tant.
Devenue adulte, Helena retrouve le chemin de la Grèce grâce au séduisant Nick, qui la convainc de l’accompagner sur un site de fouilles archéologiques. Elle redécouvre les beautés de ce pays, mais aussi un versant bien plus sombre, celui du trafic d’objets d’art. Et alors qu’elle pensait avoir définitivement tourné une page sinistre de son histoire familiale avec la mort de son grand-père, elle est conduite à mener une enquête qui lui fera croiser son terrible fantôme et les crimes qu’il a commis.
En renouant étroitement avec ses origines grecques, Helena va peu à peu se révéler à elle-même et trouver sa place dans le monde.

Virginie BOUGANT
Mourir sous les pins

Pas de vacances pour Walczak, l’Officier de police judiciaire bordelais au nom imprononçable. Alors qu’il passe quelques jours dans les Landes auprès de son fils, une sombre histoire de meurtre le rattrape : le corps sans vie de Maria, une des patientes de son ex-femme, est retrouvé sous les pins. La gendarmerie enquête quand Lorian, son ami journaliste, débarque à l’improviste et commence à s’intéresser à cette affaire. Un peu trop au goût des locaux, dont le comité d’accueil n’est pas des plus amicaux.
Une ex harcelée par un pervers, une série de meurtres irrésolus dans un village des Landes, et des types cagoulés qui se baladent armés en pleine forêt, le décor est planté pour une nouvelle aventure d’Éric Walczak. Un peu moins citadine, mais tout aussi trépidante !

 

 

Gilbert BORDES
Le testament d’Adrien

Après un long exil forcé, Pablo retrouve le ciel bleu et les paysages de son enfance en Haute-Provence, entre garrigue et montagnes provençales. Rares sont ceux qui voient son retour d’un bon oeil. N’est-il pas le fils adoptif d’Adrien, cet homme à la vie pleine d’ombres et de drames, qui avait pour le village de trop ambitieux desseins ? Convoqué pour l’ouverture du testament d’Adrien, Pablo hérite d’une jolie fortune. Et des dernières volontés du défunt, lequel a enterré avec lui un terrible secret.
Pablo saura-t-il dissiper les rancoeurs et reconquérir celle qu’il n’a jamais cessé d’aimer ?

 

Thomas SCHLESSER
Les yeux de Mona

C’est le temps que s’est donné son grand-père, un homme érudit et fantasque, pour l’initier, chaque mercredi après l’école, à une oeuvre d’art, avant qu’elle ne perde, peut-être pour toujours, l’usage de ses yeux.

Ensemble, ils vont sillonner le Louvre, Orsay et Beaubourg.

Ensemble, ils vont s’émerveiller, s’émouvoir, s’interroger, happés par le spectacle d’un tableau ou d’une sculpture. Empruntant les regards de Botticelli, Vermeer, Goya, Courbet, Claudel, Kahlo ou Basquiat, Mona découvre le pouvoir de l’art et apprend le don, le doute, la mélancolie ou la révolte, un précieux trésor que son grand-père souhaite inscrire en elle à jamais.

         Anne SCOTT
      Les insolents

 

« À la sortie de la petite gare, en sentant la moiteur dans l’air et en voyant les palmiers sur le parking, elle a eu l’impression de débarquer dans un autre coin que le Finistère, quelque chose d’étrangement chaud, humide, enveloppant, et elle a su qu’elle allait être bien ici. »
Alex, Margot et Jacques sont inséparables. Pourtant, Alex, compositrice de  musique de films, a décidé de quitter Paris. À quarante-cinq ans, installée au milieu de nulle part, elle va devoir se réinventer. Qu’importe, elle réalise enfin son rêve de vivre ailleurs et seule.
Après La Grâce et les Ténèbres, Ann Scott livre un roman très intime. Son écriture précise et ses personnages d’une étonnante acuité nous entraînent dans une  subtile réflexion sur nos rêves déçus, la solitude et l’absurdité de notre société contemporaine.

 

 

     Françoise BOURDIN
             Les bois de Battandière

Depuis la mort de son premier mari, Martial Battandier, Léa dirige l’exploitation forestière qu’il lui a léguée. Passionnée mais peu expérimentée, elle s’appuie sur Raphaël, ingénieur, pour apprendre à mieux gérer l’entreprise familiale. Car s’imposer dans l’univers très masculin des bûcherons et des débardeurs n’est pas aisé pour Léa.
Sa vie sentimentale connaît aussi son lot de difficultés. Son second mari, Tristan, délaisse l’entreprise, écrasé par le souvenir omniprésent du grand forestier Martial. Lasse des faiblesses de son époux, Léa s’en éloigne doucement pour mieux se rapprocher de Raphaël.Mais quand son frère jumeau, avec qui elle entretient une grande complicité, lui suggère de quitter Tristan, Léa hésite à prendre une décision qui pourrait mettre en péril l’exploitation…

Claire BEREST
L’épaisseur d’un cheveu

« Il était alors impossible d’imaginer que trois jours plus tard, dans la nuit de jeudi à vendredi, Etienne tuerait sa femme. »

Etienne est correcteur dans l’édition. Avec sa femme Vive, délicieusement fantasque, ils forment depuis dix ans un couple solide et amoureux. Parisiens éclairés qui vont de vernissage en concert classique, ils sont l’un pour l’autre ce que chacun cherchait depuis longtemps. Mais quelque chose va faire dérailler cette parfaite partition.

Ce sera aussi infime que l’épaisseur d’un cheveu, aussi violent qu’un cyclone qui ravage tout sur son passage.

 

    Jorn Lier HORST
Le mal en personne

                                                                              Condamné à vingt et un ans de réclusion pour le meurtre, assorti de viol et d’actes de torture, de plusieurs jeunes femmes, Tom Kerr purge sa peine. Lors d’une reconstitution près de la forêt d’Eftanglandet à laquelle il a accepté de participer, il réussit à s’enfuir malgré des mesures de sécurité renforcées. Manifestement, il a bénéficié d’une complicité. Tout désigne celui que les journalistes ont surnommé « l’Autre » et qui pourrait bien être encore plus dangereux. William Wisting, qui était responsable de l’opération, va devoir non seulement faire face à une sournoise enquête en interne, mais surtout retrouver au plus vite un criminel d’une espèce à part : un individu mû uniquement par le désir et le plaisir de faire le mal.

 

 

  Camilla LACBERG et Henri FEXEUS
Le culte

Après « La Boîte à magie », les talents exceptionnels de Camilla Läckberg et d’Henrik Fexeus se conjuguent à nouveau pour mettre en scène la détective Mina Dahbiri et le grand mentaliste Vincent Walder – un duo hors du commun aux multiples névroses, mais étrangement complice.

 

 

               David FOENKINOS
                La vie heureuse

 

« Jamais aucune époque n’a autant été marquée par le désir de changer de vie. Nous voulons tous, à un moment de notre existence, être un autre. »

 

 

 

 

Doan BUI
La tour

C’est une tour des Olympiades, au cœur du Chinatown parisien. La famille Truong, qui a fui le Vietnam après la chute de Saigon, s’y est installée à la fin des années 1970. Victor, le père, doit son prénom à Hugo et chérit l’imparfait du subjonctif. Alice, sa femme, est fan de Justin Bieber. Leur fille Anne-Maï, quadragénaire célibataire, est obnubilée par les blondes. Dans cette Babel aux mille langues, voilà aussi Ileana, la pianiste roumaine désormais nounou ; Virgile, le sans-papiers sénégalais, lecteur de Proust, qui squatte le parking ; ou encore Clément, le Sarthois obsédé du « grand remplacement » et convaincu d’être la réincarnation du chien de son idole Michel Houellebecq. Un roman choral foisonnant, poétique et drôle, qui raconte la France d’aujourd’hui. Une Vie mode d’emploi 2.0.
Avec beaucoup de désillusions, mais aussi d’humanité et d’humour, Doan Bui signe le portrait éclaté d’un pays rongé par son histoire coloniale. L’Obs.

 

Eric-Emmanuel SCHMITT
La rivale

« La Callas ? Vous verrez : bientôt  plus personne ne se souviendra d’elle… »
Qui parle ? Une certaine Carlotta Berlumi. Le nom de cette mystérieuse vieille dame n’évoque rien à personne, pourtant elle soutient mordicus qu’elle connut son heure de gloire à la Scala et fut la plus grande rivale de Maria Callas. À l’entendre, la cantatrice grecque parvint, à force de manoeuvres  et de combines, à la jeter aux oubliettes, mais elle lui rendit la monnaie de sa pièce en précipitant sa chute.
Carlotta prend-elle ses désirs pour des réalités ? A-t-elle trouvé en Callas le bouc émissaire de ses échecs, l’explication magique de ses déboires et de ses frustrations ?
A travers ce cocasse et inoubliable personnage, Éric-Emmanuel Schmitt brosse, avec un humour et une malice incomparables, le portrait en creux d’une Maria Callas méconnue. Et nous convie, en expert de la musique et des méandres de l’âme, dans les coulisses clandestines de l’opéra et du coeur humain.

 

 

Eric LAMBERT
              La confrérie de l’échelle

Mars 1652

Au milieu du XVIIe siècle, Alexandre d’EMBRELAT, un jeune homme d’à peine dix-huit ans, se met en tête de retrouver les mercenaires qui ont assassiné son grand-père et son père dix ans plus tôt.

Sachant bien qu’il ne peut conduire sa quête seul, il forme un équipage aussi hétéroclite que complémentaire. Ensemble, ils devront découvrir les activités secrètes de son aïeul avant de se confronter aux arcanes de la politique menée par le Cardinal Mazarin. La Fronde, avec ses intrigues, complots et autres conjurations, refait surface et le jeune enquêteur risque de compromettre, par son enquête, la paix civile qui vient d’être conclue par le premier des ministres du tout jeune roi Louis XIV. Mais pour une raison qu’il ignore, le Cardinal décide de laisser Alexandre continuer ses investigations, au risque de faire remonter à la surface des secrets qu’il serait préférable de garder enfouis. Durant cette aventure, Alexandre devra faire preuve de sagesse, de ruse et d’habileté, épée en main. Ses amis seront là pour l’y aider, avec bienveillance, n’en doutons pas.

 

Marie DARRIEUSSECQ
Fabriquer une femme

                                                                          Rose et Solange sont meilleures amies. Depuis leur enfance, Solange a peut-être mis du désordre dans leur vie. Mais ce qui s’est passé au village, Solange ne veut plus y penser. Rose, elle croit avoir trouvé l’amour. Mais ce qu’elle croit, Rose, est-ce que ça compte ?

 

 

Rosella POSTORINO
Et moi je me contentais de t’aimer

Palmarès des libraires – Livres Hebdo 2023

Sarajevo, printemps 1992. Omar a dix ans et passe ses journées à la fenêtre en espérant que sa mère revienne. Seule Nada, avec ses beaux yeux bleus, parvient à l’apaiser en lui tenant la main. Elle a un frère, Ivo,  ,un matin de juillet, un bus humanitaire les emmène en Italie. Si la mère d’Omar est toujours vivante, comment fera-t-elle pour le retrouver ? Et si Ivo mourait au combat ? Sur la route de l’exil, Nada rencontre Danilo, qui lui fait une promesse. Arrivés en terre étrangère, entre instituts et familles d’accueil, chacun, sans le savoir, rompt un peu plus le lien avec sa naissance en ouvrant une nouvelle page. Car le prix à payer pour la paix retrouvée est la perte irréversible de l’amour originel. Sauf à se jurer fidélité en tissant un lien qui sera leur salut.

 

Valentin MUSSO
Dans mon obscurité

Et s’il fallait affronter l’obscurité pour trouver sa vraie lumière ?

Ludivine, une lycéenne de 17 ans, tombe amoureuse pour la première fois de sa vie. Mais le garçon étrange et secret qui l’attire fait peser sur elle un danger dont elle est loin de se douter.
Emma, correctrice de 24 ans, mène une vie bien réglée. Jusqu’au jour où des événements étranges viennent bouleverser son quotidien et la plonger dans la terreur. Quelqu’un la harcèle-t-il ?
Ou la solitude et les lourdes épreuves qu’elle a traversées la font-elles sombrer dans la paranoïa ?
Zora, 34 ans, travaille à l’unité des affaires non résolues de la Brigade criminelle de Paris. Dans le dos de ses supérieurs,

elle prend le risque de rouvrir un vieux dossier portant sur une disparition inquiétante. Ses recherches officieuses vont la conduire dans sa ville natale, où elle mettra au jour une terrible vérité… Trois femmes unies par un lien secret, qui devront se battre pour faire face à une menace invisible.

 

Sabyl GHOUSSOUB
Beyrouth sur Seine

   

« La vie de mes parents, c’est comme la guerre du Liban. Plus je m’y plonge, moins j’y comprends quelque chose. J’arrive à situer les protagonistes, quelques moments marquants me restent, puis, ensuite, je me perds. Trop de dates, d’événements, de trous, de silences, de contradictions. » Sabyl a la trentaine. Il est né à Paris de parents libanais, tenus éloignés de leur pays par la guerre. Pourtant, à Paris, Beyrouth est partout. La famille élargie est restée là-bas. Seuls quelques allers-retours et WhatsApp les relient. Une part manque. Sabyl veut la combler. Micro en main, il leur demande de raconter

Sabyl Ghoussoub est né en 1988 à Paris au sein d’une famille libanaise. Écrivain, journaliste et commissaire d’exposition, il a été directeur du Festival du film libanais à Beyrouth. Beyrouth-sur-Seine est son troisième roman, ila reçu le prix Goncourt des lycéens 2022.

 

Grégoire DELACOURT
                       Une nuit particulière
                                               

              Elle s’appelle Aurore. Et pourtant c’est au crépuscule qu’elle rencontre Simeone, un soir d’automne, à Paris, aux abords du local d’un groupe de parole. Elle quitte une réunion, lui arrive pour la suivante. Il attend, l’observe, intrigué, mais c’est elle qui s’adresse à lui. Le temps d’une cigarette, la conversation s’engage.

Après trente ans d’amour fou, Aurore sait qu’elle va être quittée par son mari. Simeone a la gorge mangée par un crabe, il lui reste peu de temps à vivre, il refuse de lutter et sa femme a peur. Alors les deux inconnus s’avancent ensemble dans une nuit qui ne ressemblera à nulle autre, des rues de Paris à un bar de nuit, d’une chambre d’hôtel à un aller-retour en taxi vers Roissy et une évasion vers les rivages de l’aube. Première ou dernière nuit, tous deux l’ignorent. Ils ne sont sûrs que d’une chose  : au matin, après cette bouleversante nuit d’amour, rien ne sera plus jamais comme avant. Car l’amour ne s’écrit jamais à l’avance.
Romanesque, poétique, fulgurant  : un magnifique roman d’amour.

 

     Inga VESPER
Un destin sauvage. Si sauvage

Cornelia est le genre de femme qui dérange, dans le sud des États-Unis des années 1930.

Tenancière d’un hôtel peuplé de vagabonds et de bons à rien, elle doit fuir son village, la vengeance au corps. Elle le sait, elle reviendra, plus forte. « Et ils paieront pour ce qu’ils ont fait. »

Quarante ans plus tard, en 1970, sa petite fille est une hippie déboussolée. Une mort suspecte survient, qu’elle sait liée au secret de la disparition de sa grand-mère dans les montagnes entourant Boldville, en 1934. Des femmes que tout oppose, des générations dont les mystères se font écho, la liberté que la ville et ses habitants, la société américaine dans son ensemble, veulent à tout prix leur refuser : voilà le cœur du merveilleux nouveau roman d’Inga Vesper.

 

Harlan COBEN
Sur tes traces

l y a cinq ans, David prenait perpétuité pour le meurtre de son enfant.
Aujourd’hui, David apprend que son fils est vivant…

Il y a cinq ans, David avait tout : un mariage heureux, un petit garçon, Matthew.
Aujourd’hui, David est en prison à vie pour le meurtre de son fils.
Délire alcoolique ? Crise psychotique ? Que s’est-il passé cette nuit-là ?
David n’a plus aucun souvenir.
Un jour, son ex-belle-sœur se présente au parloir. C’est la première à reprendre contact avec lui. Dans ses mains, la photo d’un enfant dans un parc d’attractions.
Matthew.
Matthew est vivant.
Pour le retrouver, David n’a plus le choix. Il doit s’évader.

 

 

Corinne ZARZAVATDJIAN

Rose de Diarbekir

Rose de Diarbékir, c’est une histoire de femmes, de courage, de résistance, une page de l’histoire du peuple arménien, doublée d’une lettre d’amour pour la France. Une fresque familiale au souffle oriental, tragique et généreuse à la fois.

1893. À Diarbékir, dans les provinces arméniennes de l’Empire ottoman, la famille Hagopian vit entre tradition et modernité. Alors que les frères aînés partent faire leurs études en Europe, la benjamine, Rose, vibre pour le théâtre et la culture française.
Encouragée par les siens, l’ardente et résolue jeune fille réussit à rejoindre Constantinople, où la troupe de Sarah Bernhardt est en tournée. Elle parviendra à se faire remarquer de la Divine par son audace, son talent et sa sincérité.
Rose, si proche de la réalisation de ses rêves mais rattrapée par les persécutions du  » sultan rouge « , Abdülhamid II, va se révéler, entre passion de la scène et actes de résistance.
Rose de Diarbékir témoigne du courage et de l’insoumission de femmes d’exception. Il raconte une page méconnue de l’histoire du peuple arménien et rend hommage aux personnalités qui se mobilisèrent en sa faveur à la fin du xixe siècle.
Une fresque familiale au souffle oriental, tragique et généreuse à la fois.

 

 

         Marin LEDUN
            Free Queens
                                                         

Bouleversée par le témoignage d’une prostituée nigériane, la journaliste Serena Monnier se rend à Lagos pour enquêter. Guidée par les militantes de Free Queens, une ONG qui lutte pour le droit des femmes, Serena découvre vite l’ampleur effarante des réseaux criminels qui prospèrent grâce à la prostitution. Pire, que des multinationales en font, au vu et au su de tous, une arme commerciale particulièrement efficace. Si Leur âme au diable dénonçait les pratiques amorales des fabricants de tabac, Free Queens, le nouveau formidable thriller politique de Marin Ledun, s’intéresse à un industriel de la bière qui vend le corps des femmes pour mieux écouler ses produits. Mais cette fois, au cynisme capitaliste et à la corruption politique, l’auteur oppose l’incroyable courage de femmes unies pour défendre leurs droits et prêtes à tout pour se faire respecter.